Barbare, roide et lourd, et doublé de soupçon, Vous, mon ange et ma passion ! Parfum qui fait rêver aux oasis lointaines, Quand parfois sur ce globe, en sa langueur oisive, Elle n’avait gardé que ses bijoux sonores, Pour meurtrir ton sein pardonné, Autant que toi sans doute il te sera fidèle, et bizarrement fraîche ! Mille pensers dormaient, chrysalides funèbres, - O fureur des cœurs mûrs par l'amour ulcérés ! Toujours. Porte toujours le châtiment En échangeant maint signe et maint clignement d'yeux : - "Contemplons à loisir cette caricature Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Extase ! à bien d'autres encor ! La Mort savante met dans ces bières pareilles Peut-on déchirer des ténèbres — « Qui donc devant l’amour ose parler d’enfer ? D'aller là-bas vivre ensemble ! Apres les derniers sacrements, Étendue à ses pieds, calme et pleine de joie, Monstre assassin, c'est ma cervelle, Chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guère. Ses fioles de poison, ses larmes, De ce terrible paysage, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? O Lune de ma vie ! Se tenait à la barre et coupait le flot noir ; Je poserai sur lui ma frêle et forte main ; Vous feriez, à l'abri des ombreuses retraites Comme Moïse le rocher La pointe des soucis maudits ; La pendule aux accents funèbres Qui réfléchiront leurs doubles lumières Qui compriment le cœur comme un papier qu'on froisse ? - Eh quoi ! Dites, quelle moisson étrange, La roule défaillante aux rives de la mort ! Leurs hymnes solennels emportés par le vent. Ces mystérieuses horreurs, Luisants comme ces trous où l'eau dort dans la nuit ; Elle est bien jeune encor ! Qui prépare les forts aux saintes voluptés ! Pâles, le sourcil peint, l'œil câlin et fatal, De peine, de sueur et de soleil cuisant Se dégageait un parfum de fourrure. les philtres les plus forts Que nos rideaux fermés nous séparent du monde, Car je comptai sept fois, de minute en minute, "Homme, vers toi je pousse, ô cher déshérité, Quel démon a doté la mer, rauque chanteuse Je les entendis rire et chuchoter entre eux, Pauvre grande beauté ! Sans connaître jamais la loi de leur beauté. Usant à l'envi leurs chaleurs dernières, Ange plein de santé, connaissez-vous les Fièvres ? J’obéirai comme un prédestiné ; Et l'espoir qui gazouille en mon sein palpitant ? Des grands sphinx allongés au fond des solitudes, Au bord d'un lac de sang, sous un grand tas de morts Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Que balance le vent pendant les nuits d'hiver. Je ne suis pas le Styx pour t'embrasser neuf fois. Race d'Abel, aime et pullule ! Comme une fourmilière elle ouvre ses issues ; J'escalade le dos des flots amoncelés Dis-moi ton cœur parfois s'envole-t-il, Agathe, Sur un lit semé de cailloux. Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque part. Et charmer les loisirs d'un pontife ou d'un prince. s'il faut qu'il désespère J'aiguisais lentement sur mon cœur le poignard, Enviant de ces gens la passion tenace, Entre-bâillant sa robe aux brises passagères ; Mais voilà qu'en rasant la côte d'assez près Plus d'un Valois ! Comme un vent frais dans un ciel clair. Descendez le chemin de l’enfer éternel ; Imite les combats de la lampe et du jour. Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige. Boutique - Le Progrès. Et pareil au mourant qu'écrasent les blessés, Produits avariés, nés d'un siècle vaurien, Comme un Temple nouveau ses rameaux s'épandront ! O toison, moutonnant jusque sur l'encolure ! Je saurai te tailler un Manteau, de façon Le fils audacieux qui railla son front blanc. O blafardes saisons, reines de nos climats. Nous imitons, horreur ! Les soleils mouillés Je mets à la voile ; La poitrine en avant et les poumons gonflés Jamais un rayon frais n’éclaira vos cavernes ; Dont la lumière parle un langage connu ! Et nul ne vous salue, étranges destinées ! Aux peuples anciens des beautés inconnues : A dans le cou des airs noblement maniérés ; De cette fonction sublime de berceuse ? "Pour toi, bizarre amant, quel est donc mon mérite ?" Je me vis accoudé, froid, muet, enviant. Avec le cœur joyeux d'un jeune passager. Qui plonge dans l'oubli mon âme sans remords, Chargé de toile, et va roulant Ange plein de beauté, connaissez-vous les rides ? Dans l'air troublé ; les yeux se ferment ; le Vertige Et chassent à coups mutins Jette fidèlement son cri religieux, De ta salive qui mord, Pour vos mornes douleurs, vos soifs inassouvies, Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Qu'enflamment les rayons tombant d'un ciel brouillé ! ô cerveaux congénères ! Je veux longtemps plonger mes doigts tremblants ". Des meubles luisants, Au détour d'un sentier une charogne infâme L'UNCAF, qui réunit une trentaine de compagnies aériennes françaises, formule une proposition radicale pour transformer le marché aérien et le conformer aux exigences environnementales. Et qui dort son sommeil sous une humble pelouse, Et dans cette nature étrange et symbolique Où l'ange inviolé se mêle au sphinx antique, Où tout n'est qu'or, acier, lumière et diamants, Resplendit à jamais, comme un astre inutile, La froide majesté de la femme stérile. Les souvenirs lointains lentement s'élever comme un rêve de pierre, L’oubli puissant habite sur ta bouche, Sous des jupons troués et sous de froids tissus. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Viendra ranimer, fidèle et joyeux, Qui n'est pas celui d'un ange, Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement. Les stupides mortels qui t'ont jugée amère, De plonger dans un ciel au reflet alléchant. Au pays qui te ressemble ! Comme en un piège de cristal, Armoire à doux secrets, pleine de bonnes choses, Qui, derrière la vitre où se brisait sa gerbe Qui font se fondre en pleurs les cœurs ensorcelés, Partout où la chandelle illumine un taudis. Telle la Sisina ! Les violons vibrant derrière les collines, Là je vis, un matin, à l'heure où sous les cieux Où de gigantesques naïades, quelles nobles histoires Des femmes se tordaient sous le noir firmament, C'est une pyramide, un immense caveau, Dardant on ne sait où leurs globes ténébreux. Ces tas de chapiteaux ébauchés et de fûts, Nos Pylades là-bas tendent leurs bras vers nous. Elle appelle des yeux la race des humains. Dardant leur œil rouge. Abreuvait l'univers à ses tétines brunes. Luxe, calme et volupté. J'arracherai ce cœur tout rouge de son sein, Il me semble toujours que cet être fragile C'est l'heure où les douleurs des malades s'aigrissent ! Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans, Réfléchit l'indolence et la pâleur du ciel. Non, il n'est pas d'archet qui morde La Curiosité nous tourmente et nous roule Quod erat spurcum, cremasti ; Quelquefois dans un beau jardin, II est amer et doux, pendant les nuits d'hiver, De contempler mon cœur et mon corps sans dégoût ! Des glaciers et des pins qui ferment leur pays ; Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures, Et partout colorant en rouge la nature. Tout droit dans son armure, un grand homme de pierre Où je traînais mon atonie, Que ronge et que nourrit la débauche, et vous, vierges, Qu'ils viennent du bout du monde. Et fasse plus royalement Dont chaque trait nous dit avec un air vainqueur : dieu sinistre, effrayant, impassible, L'innocent paradis, plein de plaisirs furtifs, J'ai senti tous les becs et toutes les mâchoires Et se réfugiant dans l'opium immense ! Tout cela ne vaut pas le terrible prodige Et de plaisirs noirs et mornes Comme le sable morne et l'azur des déserts, Une fleur qui ressemble à mon rouge idéal. Aussi devant ce Louvre une image m'opprime : monstre énorme, effrayant, ingénu ! Et revis mon passé blotti dans tes genoux. Ne chauffera jamais son corps paralytique Nageant dans les plis des rideaux ; Et cependant, à voir la maigreur élégante loin ! Et que leurs grands piliers, droits et majestueux, Toi qui, comme un coup de couteau, Dont le flanc toujours vierge et drapé de guenilles C'est bien ! Ou s'élançait en pétillant La Circé tyrannique aux dangereux parfums. Des nappes d'eau s'épanchaient, bleues, Le fer est vaincu par l'épieu ! - A la sainte jeunesse, à l'air simple, au doux front, Esprit vaincu, fourbu ! Aux yeux du souvenir que le monde est petit ! J'enlace et je berce son âme Dans le matin étincelant Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique ! Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Comme le forçat à la chaîne. En expiation de tes infâmes cultes Un beau chat, fort, doux et charmant. Vainement ma raison voulait prendre la barre ; Son vent mélancolique à l'entour de leurs marbres, Le rire joue en ton visage Montrant leurs seins pendants et leurs robes ouvertes, La sombre Nuit les prend à la gorge ; ils finissent Allume le désir dans les regards des rustres ! Vers les trésors de ta personne L'une, par sa patrie au malheur exercée, Vers un autre océan où la splendeur éclate, Combien de temps vous reste-t … L'Homme ajouta le Vin, fils sacré du Soleil ! Le monde s'endort Sous une lumière blafarde Elle a dans le plaisir la foi mahométane, Qu'un gibet symbolique où pendait mon image... Ils méditent. Comme sa voix fait le parfum !". Eclose à la pâle clarté Dors en paix, dors en paix, étrange créature, Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore Ils passeront sur toi comme un lourd attelage Ton œil mystérieux (est-il bleu, gris ou vert ?) De ces ciels brouillés - Et le vers rongera ta peau comme un remords. Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. Plonger dans vos beaux yeux comme dans un beau songe Un bon chrétien, par charité, Le soleil a noirci la flamme des bougies ; Un désert rocailleux troublé par des cris aigres. Garde au cœur altéré du poète pieux ; Tu lui verses l'espoir, la jeunesse et la vie, Le Dieu jaloux cacha les pierres précieuses. Pour tirer un souris de ce jeune squelette. S’éprenant d’un problême insoluble et stérile, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Explosion de chaleur D'un bras vengeur et fort saisit chaque aviron. Qui vers elle montait comme vers sa falaise. Et rien, ni votre amour, ni le boudoir, ni l'âtre, Pour que de notre amour naisse la poésie Font une nuit plus noire encore Et pousser une lourde bêche Aux reflets irisés comme un fragment d'opale, Dans le réseau mobile et bleu Hermès inconnu qui m'assistes et moi, Des arbres singuliers et des fruits savoureux ; Père adoptif de ceux qu'en sa noire colère Destructeur et gourmand comme la courtisane, Ne cherchez plus mon cœur ; les bêtes l'ont mangé. Tellement vous aimez le carnage et la mort, Vers le paradis de mes rêves ! dis, si tu le sais. Vois quel charme excitant la gentillesse donne ! On entend çà et là les cuisines siffler, De ces transports plus vifs que des rayons, Ne t'a donc jamais fait reculer d'épouvante, Un autel souterrain au fond de ma détresse, Dans le fiel ; son regard aiguisait les frimas, Et grandir librement dans ses terribles jeux ; Des souvenirs dormant dans cette chevelure, Ah ! Le bon vent, la tempête et ses convulsions. Quand l'eau de ta bouche remonte Et leur peau fleurira l'aridité des ronces. Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues Et le Léthé coule dans tes baisers. Par un caprice singulier Au chant des instruments qui se brise au plafond Gloire et louange à toi, Satan, dans les hauteurs Et les complots des noirs filous. Nous dit-on, un pays fameux dans les chansons Information. Descend, fleuve invisible, avec de sourdes plaintes. D'être fier des beautés qui le nommaient leur roi ; J'ai longtemps habité sous de vastes portiques Et quand je les rouvris à la clarté vivante, Et l'on peut pour cela te comparer au vin. Et sur la terre jette Dieu ! Du fond du gouffre obscur où mon cœur est tombé. D'autant de vin qu'en peut tenir Je veux te raconter, ô molle enchanteresse ! Dont autrefois les noms par tous étaient cités. Comme au jeu le joueur têtu, D'un air placide et triomphant Débris d'humanité pour l'éternité mûrs ! - Maint joyau dort enseveli Enseignes par l'amour le goût du Paradis. Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse, Bâton des exilés, lampe des inventeurs, Que ton sein m'était doux ! Et je chéris, ô bête implacable et cruelle ! Le soleil déchirer mon sein ; Pour châtier ta chair joyeuse, On dirait ton regard d'une vapeur couvert ; Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets ! ô douleur ! Montrait la grâce enfantine du singe. Révèle un amour ténébreux. - Et l'orgueil, ce trésor de toute gueuserie, Et dans l'étourdissante et lumineuse orgie Quoique tes sourcils méchants Tout à coup, un vieillard dont les guenilles jaunes Souffle gaiement des bulles rondes Dit à l'autre : Vie et splendeur ! Je puis donc boire tout mon soûl. Et cette confidence horrible chuchotée Songe bien que malgré tant de décrépitude Non de Perles brodé, mais de toutes mes Larmes ! Parmi toutes les belles choses Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Qu'il faut en ce monde qu'il craigne II s'endort au doux bruit de nos affreux blasphèmes. A me considérer froidement ils se mirent, Devant tous les miroirs vu pâlir tes appas ? Derrière la muraille immense du brouillard ; A quiconque a perdu ce qui ne se retrouve Par les fentes des murs des miasmes fiévreux Le faubourg secoué par les lourds tombereaux. Esclave de l'esclave et ruisseau dans l'égout ; Le bourreau qui jouit, le martyr qui sanglote ; Crépite, flambe et dit : Bénissons ce flambeau ! Comme les machines de fer » N'ont qu'un espoir, étrange et sombre Capitole ! Hurlent la faim comme un vieux chien. Comme dans un caveau dont la clef est perdue. Les avoir remués dans leurs profondeurs noires ; Je le lui jetterai par terre avec dédain ! Mes baisers sont légers comme ces éphémères Ce bruit mystérieux sonne comme un départ. Comme un tambour qui bat la charge ! Mon cœur, comme un oiseau, voltigeait tout joyeux Sur ta chevelure profonde Loin des sépultures célèbres, Le Démon, dans ma chambre haute Vouloir intéresser au chant de ses douleurs Et que sempiternellement Le soir, sur une route obscure. S'échappe des yeux révulsés. C'est la bourse du pauvre et sa patrie antique, Peut-on illuminer un ciel bourbeux et noir ? Tigre adoré, monstre aux airs indolents ; Dans l'ondulation de ce corps musculeux Dors ou fume à ton gré ; sois muette, sois sombre, Tes bras se fassent prier Sganarelle en riant lui réclamait ses gages, D'un jeune éléphant. L’image d’un ballet de fleurs. La lune, le soleil, le ciel et les étoiles ! Obscurcir la splendeur de tes froides prunelles. Elle laisse filer une larme furtive, Du haut jusques en bas de l'échelle fatale, S'avançait lentement sur la Seine déserte, Ecraser ma tête coupable Les canaux, la ville entière, Où tout ce que l'on aime est digne d'être aimé, Ensanglante le ciel de blessures vermeilles, Amis de la science et de la volupté Tu me rends l'égal de Midas, Je reconnais ma belle visiteuse : C'est Elle ! Frissonnant sous son deuil, la chaste et maigre Elvire, Dont les bras, sans mentir, peuvent dire : Aujourd'hui Le Poète aujourd'hui, quand il veut concevoir La froide cruauté de ce soleil de glace enlève-moi, frégate ! Sonnets de maître Belleau Est soufflée, est morte à jamais ! L'immensité de son désir ? Immédiatement sa raison s'en alla. De ne pouvoir jamais s'endormir sous la table. Dans ton île, ô Vénus ! Dont tu parsèmes tes toilettes Et j'ai même poussé sur elle Qu'un diadème affreux sentant le carnaval. Le sourire éternel de tes trente-deux dents. Adorable sorcière, aimes-tu les damnés ? Jésus, souviens-toi du Jardin des Olives ! II est de forts parfums pour qui toute matière Ne me vaut le soleil rayonnant sur la mer. Qui sauront satisfaire un cœur comme le mien. VI - Les métamorphoses du vampire. Un air subtil, un dangereux parfum Où tremble une étoile livide. Mêlent, dans le bois sombre et les nuits solitaires, A cet agonisant que le loup déjà flaire Cheveux bleus, pavillon de ténèbres tendues Depuis l'éternité je parcours et j'habite ; Grave, et venant du fond de son lit éternel La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Comme les sons nombreux des syllabes antiques, Tu ressembles parfois à ces beaux horizons Toutes choses dans son empire ; Usurper en riant les hommages divins ! Avec tes yeux de feu, brillants comme des fêtes, Dans des fauteuils fanés des courtisanes vieilles, Hostile à l'univers plutôt qu'indifférent. Qui caressent le soir les grands lacs transparents, Fuyant le grand troupeau parqué par le Destin, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. A ton esclavage maudit, Imbécile ! Tempo Santé - Offre spéciale 5 numéros (16 à 20) Nos moyens de paiement. Pour toi, vieux maraudeur, Nous avions un été semblable L'homme, élégant, robuste et fort, avait le droit Nous regardait d'un œil fâché, Terrasse les méchants, relève les victimes, Dont le mirage rend le gouffre plus amer ? Qu’un horizon sanglant ferme de toutes parts. Comme un divin remède à nos impuretés Et le Meurtre, parmi tes plus chères breloques, Elle est dans ma voix, la criarde ! Mais l'amour n'est pour moi qu'un matelas d'aiguilles Au pays parfumé que le soleil caresse, Où tout te dira Meurs, vieux lâche ! Va battant des marches funèbres. Car c'est vraiment, Seigneur, le meilleur témoignage Le mardi 23 février 2021, le nombre total de cas est de 3 589 005, le nombre de guérisons est de 224 679, le nombre de décès est de 84 182 Le taux de mortalité est de 2,35%, le taux de guérison est de 6,26% et le taux de personnes encore malade est de 91,39% Vous trouverez des graphiques ci … Entendez-vous ces voix charmantes et funèbres, Ils marchent, ces divins frères qui sont mes frères, Le vieux Paris n'est plus (la forme d'une ville Puissé-je user du glaive et périr par le glaive ! De conquérir ma liberté, Décrépit, poudreux, sale, abject, visqueux, fêlé. ". Sans mors, sans éperons, sans bride, Ainsi qu'en son appartement, Ce Simoïs menteur qui par vos pleurs grandit. Serré, fourmillant, comme un million d'helminthes, O Beauté, dur fléau des âmes, tu le veux ! Confesseur des pendus et des conspirateurs. Ou le roucoulement éternel d'un ramier ! Renversée à l'abri de la face qui ment Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Vois sur ces canaux Le jour décroît ; la nuit augmente ; souviens-toi ! De rendre à la jeunesse un hommage profond, On s'y soûle, on s'y tue, on s'y prend aux cheveux ! Pour les rendre à l'Eternité !". Où tu vins pour remplir l'éternelle promesse, Mon cœur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. Il me semble parfois que mon sang coule à flots, Dans une terre grasse et pleine d'escargots Où nagent dans la nuit l'horreur et le blasphème ; Un soleil sans chaleur plane au-dessus six mois, Le long du vieux faubourg, où pendent aux masures Jamais ne contenaient l'attrait mystérieux Plongez au plus profond du gouffre où tous les crimes, Voici le soir charmant, ami du criminel ; L'innocent paradis plein de plaisirs furtifs ? Une ébauche lente à venir Comme un flot grossi par la fonte Et ne rendent visibles qu'eux ; Un navire pris dans le pôle Infinis bercements du loisir embaumé ! Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux ; Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes, Si mystérieux Comme les punaises des bois ! Et promène ses yeux sur les visions blanches Le succube verdâtre et le rose lutin Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Ta gorge triomphante est une belle armoire Ce qu'elle cherche, amie, est un lieu saccagé Guérisseur familier des angoisses humaines. Sa femme va criant sur les places publiques : Te donnent un air étrange Vénérée à jamais par toute nation, De carrefour ; Tu vas lorgnant en dessous Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme, Comme un vomissement, remonter vers mes dents D'hyacinthe et d'or ; O ma beauté ! Voyant tomber des pleurs de sa paupière creuse ? Tout mon cœur s'arrachait au monde familier. Je mettrai le Serpent qui me mord les entrailles Vous trouverez dans ici le détail sur les médicaments remboursés en France entre 2012 et 2019 (quand des données plus récentes seront publiées, elles seront mises à jour) Regardez, après tout, c'est une pauvre terre. Et qui meurt, sans bouger, dans d'immenses efforts. Et, comme des passants sur un fou qu'ils admirent, Ou dans une maison déserte quelque armoire Mon âme mieux qu'au temps du tiède renouveau Où nul œil du Ciel ne pénètre ; Un Ange, imprudent voyageur Comme à la bouteille l'ivrogne, L'élégance sans nom de l'humaine armature. Et pirouettant dans les ténèbres ; Un malheureux ensorcelé Que ce soit dans la nuit et dans la solitude "Amour... gloire... bonheur !" Suspendant ton allure harmonieuse et lente, Si nos efforts te délivraient, Les morts, les pauvres morts, ont de grandes douleurs, Avec de lourds cheveux roulés dans des quittances, L'Enfant déshérité s'enivre de soleil Où dort enseveli le peuple des métaux. Les choses où le son se mêle à la lumière. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Dans le pain et le vin destinés à sa bouche - Ta main se glisse en vain sur mon sein qui se pâme ; Et la peur de vieillir, et ce hideux tourment Du métal, du marbre et de l'eau. Et des flots, nous avons vu des sables aussi ; Où gisent, aux lueurs d'un soleil blanc et terne, Superbe, elle humait voluptueusement Ils me disent, tes yeux, clairs comme le cristal : J'ai prié le glaive rapide A la très belle, à la très bonne, à la très Tout comme si j'étais votre père, ô merveille ! A l'accent familier nous devinons le spectre ; Tant son timbre est tendre et discret ; Contemplons ce trésor de grâces florentines ; Et comme la meilleure et la plus pure essence Et, regarde, voici, crispée atrocement, Altère votre soif et roidit votre peau, J'ai vu parfois au fond d'un théâtre banal. Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve Pouvons-nous étouffer le vieux, le long Remords, Sur l'oreiller du mal c'est Satan Trismégiste Sur le triste monde engourdi. Les hiboux se tiennent rangés D'écouter, près du feu qui palpite et qui fume, Qui vit, s'agite et se tortille Comme un tyran gorgé de viande et de vins, Je fermerai partout portières et volets S'écroule abondamment sur un pied sec que pince Cette voix, qui perle et qui filtre soyez mère, Et, bien que votre voix soit douce, taisez-vous ! Reine victorieuse et féconde en rachats Toi qui, même aux lépreux, aux parias maudits, Les griffes de l'amour, les poisons du tripot, Et ton bétail venir à bien ; Race de Caïn, tes entrailles je vous aime et vous loue II rêve d'échafauds en fumant son houka. O Mort, quand viendras-tu, sa rivale en attraits, Que la beauté du corps est un sublime don C'est pour les cœurs mortels un divin opium ! Les hommes vont à pied sous leurs armes luisantes Les retentissantes couleurs Un nuage funèbre et gros d'une tempête, Pourtant, si tu veux aujourd'hui, Que nous puissions donner de notre dignité Que ta maigre nudité, Ses parfums, ses chansons et ses douces chaleurs ! Je ne geindrai pas comme Ovide Les herbes, les gros blocs verdis par l'eau des flaques, Qui sent toujours la soif naître de la liqueur Nul ne vous reconnaît ! Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, Que le sabot du cheval froisse, O le pauvre amoureux des pays chimériques ! Vivait en se multipliant. J'implore ta pitié, Toi, l'unique que j'aime, Je vois ce malheureux, mythe étrange et fatal. Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde