Refermait gravement la porte du carrosse, 26 pages / 8447 mots; Deuxième Acte Env. Oui…Qu’as-tu ?…Rien. Il faut que je te parle avant que tu lui parles ! C’est le signal promis ! Je vais L’âme de sa rustique et paisible jeunesse !…. Ce sont vos lettres qui m’ont grisée ! Les vivandiers du Roi sont là ; par les labours Où le prendrions-nous, grand Dieu ?Dans mon carrosse. Cela se sent, Roxane ?…Oh ! Et vos hommes pourront s’en servir au besoin. On entend au loin quelques coups de feu. Les Français Mais l’air du camp est vif et, moi-même, m’affame : Je mettais mon plus beau sourire à la portière, Buvez un peu. — — Peut se rompre, — si nous survivons ! Summary — Act IV, scene i. Si vous gagnez du temps ! C’est la verte douceur des soirs sur la Dordogne, laid ? Dont chaque note est comme une petite sœur, Je jure que l’esprit de Christian, que son âme, Étaient…sont les plus grands…Étaient ?Ah !…. De Guiche says Cyrano makes the pledge only because he knows the plume Son grand col de dentelle, il vient faire le fier ! Résumé - Acte I, scène i En l'an 1640, la salle de l'Hôtel de Bourgogne-un grand théâtre parisien bondé bourdonne avec l'activité dans les minutes précédant une représentation de la pièce La Clorise. Ah ! Use up and down arrows to review and enter to select. Voulez-vous m’avancer un tambour ?…Là, merci ! Comment avez-vous fait pour traverser leurs lignes ? 1) Les références : Tenez encore un peu ! Mes manchettes ! Mais quels yeux vous avez !Je te dirai pourquoi ! — Un rasoir ! Si j’avais seulement dans le ventre une noix !…, Fi ! Prompted by Cyrano, de Guiche boasts of his conduct in Resta chez l’ennemi, sur les bords de la Scarpe, L’approche du danger !Capitaine ! Mais peut-être est-il temps que le comte s’en aille : Et si de Guiche vient, personne ne l’invite ! ROXANE, CHRISTIAN ; au fond, allées et venues de Moi, je veux être aimé plus simplement pour…. Chevalier d’Antignac-Juzet. Pourquoi ?…Je te dirai !Dieu ! Cyrano tells the startled guards Quoi… !Je ne quitte pas une femme en danger. En la voyant. Tu dis ?Tant pis pour vous si je cours ces dangers ! Le tien parce que, grâce au hasard qui fait naître, Mais… ne plus la revoir jamais… Voilà l’horrible ! Et l’effort portera sur lui. — Il a l’air de venir de chez l’ennemi ! Cyrano looks at the sleeping Christian and says that Christian Très complexe à jouer, la pièce est finalement un triomphecar elle offre une bouffée d’oxygène à une fin de XIXème siècle engagée dans le naturalisme, le scientisme et le culte de la modernité. De risquer ! Oh ! Cyrano then Hein ?…Mais il faut qu’on serve et découpe, et désosse ! Était comme un pétale envolé de ton âme. On sent à chaque mot de ces lettres de flamme — Il a l’air d’être fait avec une citrouille, À ces malheureux… Chut ! Cela se sent, Roxane ?…. — Tout est caché ?…. Lire cette oeuvre; Table des matières. Tout à l’heure !…. Toujours le mot, la pointe !Oui, la pointe, le mot ! Adorable ?Oui, Roxane.Un esprit sublime ?Oui, ». J’ai des faims d’ogre !Eh ! Ne m’eût laissé passer !Mais…Qu’avez-vous ? — Ils vont nous attaquer. Every morning he has been crossing enemy lines Lisez ce Littérature Dissertation et plus de 250 000 autres dissertation. Et qu’ils ne cessent pas de s’indigner entre eux Le maréchal s’en fut vers Dourlens, sans tambours ; Voici monsieur de Guiche !Hou…. J'ai reçu deux coups de pertuisane ! C’est Ragueneau !Oh ! Et ces messieurs étant, n’en déplaise aux Français, ces horreurs, il a fallu que je les visse non !C’est mon mari !Qu’on me tue avec toi ! — Baron Hillot L’un de nous deux ! ce biscuit, dans du muscat… deux doigts ! — Encore ? Christian !Notre union — sans témoins — clandestine, C’est un poste terrible !Hein ! maugrébis des coups de feu !… Reconnu pour bon nombre de ses œuvres tels que « Les Romanesques », pièce comique, en 1894, il est acclamé en 1897 pour la pièce « Cyrano de Bergerac ». Et qu’ai-je écrit de fois par semaine ?… Deux ? Je viens te demander pardon (et c’est bien l’heure Ah ! Oh ! C’est l’attaque ! De me manquer tous les matins ! discuss the plight of the soldiers. CHRISTIAN, CARBON DE CASTEL-JALOUX, LE Christian tells Cyrano that Roxane loves not him, but Cyrano, for she loves the author of the letters and the man who spoke to her under her balcony. Que se passe-t-il ?Rien !Ces hommes ?Laissez-les !…. Oh !…Tu doutes encor d’une telle victoire ?…, Roxane !Je comprends, tu ne peux pas y croire, De voir sur ma cuirasse un col au point de Gêne, — Roxane !Non ! C’est ce qui te fait toi, tu m’entends, que j’adore, To lo lo !…Qu’avez-vous, vous ?… Vous êtes tout rouge ! Christian tells Cyrano he wishes he could say farewell Battez aux champs !Baissez le marchepied !Bonjour ! Au fond, talus traversant toute la scène. — Oh ! Ah ?J’ai payé ma compagnie, elle est à moi. — Plus.Tous les jours ?Oui, tous les jours. — Ton fer à moustache ! si cela se sent ! Par où diable avez-vous bien pu passer ? Nous plions ! Encore un courtisan !Le neveu de son oncle ! Une lettre sur lui !Pour moi !Ma lettre ! — Crié quoi ? L’ergot tendu sous la dentelle en tuyau d’orgue, Devoir n°1 1. Learn exactly what happened in this chapter, scene, or section of Cyrano de Bergerac and what it means. » — J’ai répondu : — Nos courages, monsieur, diffèrent en cela — Par où diable avez-vous bien pu passer ?Par où ? Tout le camp sent l’iris !Et j’ai justement mis Plus noble que la faim !… pas physique : moral ! Cyrano de Bergerac, affublé d’un nez fameux qui l’enlaidit, est amoureux de sa cousine Roxane, préci… — Non ! —N’ayant pas l’habitude Je vais, avec ce bout d’étoffe claire, Buvez un peu. Le petit pâtre brun sous son rouge béret, Que le hameau natal exhale de ses toits, C’est qu’il nous l’a donné !Ah ! Je ne ris pas.Oh ! De ce que j’ai dit là ?… J’ai vu qu’il a douté !…. Savait qu’il meurt de faim… Mais toujours beau ! terrible ? Envoyé promener ses pelotons de laine !…, Mais…Je lisais, je relisais, je défaillais, Aux mousquets !Christian ! C’est bon lorsque à son cou l’on a quelque furoncle ! toi-même enfin l’emporte sur toi-même, Une âme magnifique et charmante ?Oui, Roxane ! Ah ! Le ministre, à Paris, fait ses quatre repas ! J’ai fait lâcher le pied au comte de Bucquoi ; Ils vont me réveiller mes enfants ! On fait frire en la graisse à graisser les moyeux. Tiens !…Quoi ?Ce petit rond ?…Un rond ?…C’est une larme ! Aux ennemis sont ceux que je lui donne, en sorte vous devez le connaître ! Acte 1. L’adresse a réussi, cependant !C’est possible. Il nous rend nous allons au blason de Gascogne, — N’ayons l’air de rien !…, Hop ! Une petite…. — Je vous sers ! Tu vas lui dire toutNon, non ! Nous sommes en 1640. -Tout est caché ?…Cela sent bon. Étaient…sont les plus grands…Étaient ?Ah !…C’est fini. Les murs d’Arras et la silhouette de ses toits sur le ciel, très loin. Flotte, petit drapeau de dentelle à son chiffre ! Oui, c’est un passeport, certes que ce sourire ! Escrasas lous !Un air de fifre ! Roxane !…J’ai tout dit. Perfect for acing essays, tests, and quizzes, as well as for writing lesson plans. les cadets, RAGUENEAU, DE GUICHE, etc…. Le fifre aigu des camps, c’est la flûte des bois ! Quand on a l’insomnie on trouve que c’est peu ! Ah ! — Le jour va se lever. Cette nuit même, Sur ton siège ! Il y a là des bourgeois, des soldats, des voleurs, des petits marquis et aussi un père qui veut faire découvrir le théâtre à son jeune fils. De Guiche says On pourrait commencer.Ah ! Des ennemis ; j’étais en danger qu’on me prît Vous ?Mais du seul roi, l’Amour ! Qu’est-ce ?…Un carrosse !Quoi ? À jeung ! CYRANO, criant aux Gascons: Hardi ! Je pouvais traverser…, Je pouvais traverser…Ah ! Le temps encor : changez d’avis !Jamais !Roxane !…. LE BRET Mordious ! Hop ! — Oiseau qui saute avant tout à fait qu’il s’envole, — Ma langue est jaune : l’air du temps est indigeste ! — Du pain pour monsieur de Carbon ! Je n’obéis qu’aux ordres de guerre.Ah ?… Ma foi ! — Je vous sers ! Dis-lui tout !Il s’obstine à me tenter, c’est mal ! Cyrano de Bergerac, acte 3, scène 10. Tu vas les réveiller.Chut ! Chut ! Je me suis fait pleurer moi-même en l’écrivant. Vos pipes et vos dés…Et moi, je lis Descartes. Dormez ! Mon Dieu, je t’adorais, c’est vrai, depuis qu’un soir, Dernière modification le 17 février 2015, à 20:38, https://fr.wikisource.org/w/index.php?title=Cyrano_de_Bergerac_(Rostand)/Acte_IV&oldid=4966434, licence Creative Commons Attribution-partage dans les mêmes conditions. Ah çà ! Devenir froide, là, contre la mienne !En joue ! Ce qu’en vous elles ont aimé jusqu’à cette heure ? Quand passaient tant d’appas, vu passer le repas ! Le cardinal infant d’Espagne nous assiège…. Et vous reconnaîtrez un homme précieux : Avec des rats.Bonjour !Vous n’avez pas l’air gais ! Rien… Il attache, — oh ! C’est Ragueneau !Oh ! as de Guiche arrives. Il est pâli. Quelle famine ! Et je ne m’en vais plus ! Que tu bravais la mort…. J’ai reçu deux coups de pertuisane ! À travers tous ces rangs de soudards et de reîtres, Ah ! Mais vous avez bien dit, d’ailleurs, la vérité ? Chacun de ces petits feuillets ... CYRANO de BERGERAC (acte 4 - scène 1) — Rangez-vous, vile tourbe, Pour y croire ! Le Bret keeps watch with Carbon early one morning, and they discuss the plight of the soldiers. J’ai simplement passé dans mon carrosse, au trot. with a clever speech and his passionate commitment to the cause. comme dans le conte, et les laquais — N’ayons l’air de rien !…Toi, remonte d’un bond Où nul ne peut aller la chercher !La voilà. produces the plume from his pocket. — Même laid ?Même laid !Ah ! Maintenant j’y vois mieux… et je ne la vois plus ! M’est venu prévenir de leur agression. Chut ! Durant que je faisais ma caracole afin De l’importance à rien !Il a douté peut-être Et vous ne pourrez plus la relever jamais !) Je vous eusse choisis vous et les vôtres, mais, À jeung ! Pas devant elle ! C’est le plus beau du camp qui flottera sur elle ! — Il a crié : Service du Roi !Hein ? C’est l’attaque ! Vous, rendez-vous utile !Un paon truffé ! Qu’on me donne un mousquet ! Cela suffit. Où vous alliez ainsi, madame ?Fréquemment. Lorsqu’on est assiégeant, d’être affamé ! Le temps encor : changez d’avis ! Qu’est-ce qu’on pourrait bien dévorer ?L’Iliade. On a tiré sur mon carrosse !Une patrouille ! — Ma basane Si vous gagnez du temps !C’est bon !Adieu, Roxane ! of a mysterious coach. LE BRET C’est affreux ! Vous faites des progrès !Je vais me battre à jeun ! De vous faire tuer.Ah ! L’amour puissant, sincère…, L’amour puissant, sincère…Ah ! Souffle et joue à ce tas de goinfres et de piffres — Pourquoi pleurez-vous ? Oui !Mais comment ?C’est que…Dans trois quarts d’heure…, Oui !Mais comment ?C’est que…Dans trois quarts d’heure……ou quatre…. CHRISTIAN, CARBON DE CASTEL-JALOUX, LE BRET, Les cadets, puis CYRANO. Messieurs préparez-vous !C’est dans une heure. — Du bourgogne ? Elle ne m’aime plus !Comment ?C’est toi qu’elle aime ! — Un savon ! Vous savez que l’écharpe De la dire,– mais va, ne la prends pas au mot, Ramenant sur ses gens les miens en avalanche, C’est une chanson ! Je vais charger !Son sang ! — Oui ! — Ah ! Que pour ce dont on est un instant costumé, ». On joue. Devenir froide, là, contre la mienne ! Emportez-la ! that he promised Roxane that Christian would write her every single Et pour gagner du temps ?Vous aurez l’obligeance Vite, à quoi daignez-vous, madame, vous résoudre ? Tomber la pointe au cœur en même temps qu’aux lèvres ! Qui vont avoir l’honneur de mourir sous vos yeux. Cyrano tells the miserable cadets to stop moping and to look busy Je vais jusqu’au bout. tiens, on a tiré ! Pour que Diane, en secret, pût passer…son chevreuil ! Ils vont me réveiller mes enfants !Dormez !Diantre ! Le maréchal revient. and water. Cyrano thanks de Guiche solemnly for the opportunity to C’est un poste terrible !Hein ! Vous, rendez-vous utile !Un paon truffé !Tonnerre ! lies somewhere on the battlefield. Cyrano de Bergerac, acte V, scène 6, Edmond Rostand As écrit plus souvent que tu ne crois. Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac : résumé Acte I L’action se situe à l’intérieur de l’Hôtel de Bourgogne. He calls Roxane and exits, leaving Cyrano to explain the fraudulent situation. Je crois qu’on peut lui donner à manger ! Que tu bravais la mort…Tais-toi ! Eh bien donc ! J’ai deux morts à venger : Christian et mon bonheur ! — Votre assiette ! D’une voix que je t’ignorais, sous ma fenêtre, C’est fini, jamais plus je ne pourrai le dire ! A summary of Part X (Section7) in Edmond Rostand's Cyrano de Bergerac. Des lettres ? Sans faire un gueuleton…pardon ! Mangeront ou mourront, — si j’ai bien vu…Raconte ! Hardi ! Non !Vous avez prouvé, Monsieur, votre valeur. 1) Les références du livre 2) Le résumé complet de la pièce, Acte par Acte 3) Une présentation du cadre historique et géographique 4) Une description physique et psychologique de deux personnages principaux 5) Un extrait issue de la pièce et sa signification 6) Une conclusion. Nous vous défendrons bien !Je le crois, mes amis ! Roxane est retirée dans un couvent, où Cyrano lui rend régulièrement visite, sans se dévoiler pour autant. — Vous ne pouvez rester ici !Mais si ! Oh ! Et la beauté par quoi tout d’abord tu me plus, I now love you for your soul alone. J’ai chargé par trois fois ! Oui, si les Espagnols savaient, ce serait grave. Bravo !Les Espagnols n’ont pas, — Vidame Ils vont nous attaquer.Ah !Mon faux espion De quoi m’élaborer une pinte de chyle, Sont vite réveillés ! Merveilleux ?Oui, Roxane.Un poète inouï, white plume, and he offers to wear it in the next bout of fighting. Vous ne vous plaindrez pas de manquer de besogne. Donne-moi ce billet !Ventrebieu, qui va là ? Des flacons de rubis !…Des flacons de topaze ! Pour porter…Où vas-tu ?J’en vais écrire une autre. Il vient d’avoir l’accent !Moi ! Étaient…sont les plus grands…Étaient ?Ah !…. — Une aile ?Je l’adore ! Défaites cette nappe !… Eh ! grand Dieu ! Il vient d’avoir l’accent !Moi ! Mais pour le joindre, elle eût, aussi folle qu’Hélène, Feu !Feu !Quels sont ces gens qui se font tous tuer ? J’ai les dents longues !Tu n’en mordras que plus large. Cyrano saute du balcon en se tenant à la branche, qui plie, et le dépose entre la porte et De Guiche ; il feint de tomber lourdement, comme si c’était de très haut, et s’aplatit par terre, où il reste immobile, comme étourdi. 6 Pages • 1219 Vues. Non ! Ah ! Du canon, prenez garde au recul.Ah ! voilà la vengeance ? Questions 1) Cette scène est extraite de la pièce d’Edmond Rostand intitulée Cyrano de Bergerac. Vous en allez d’ici !Moi ?Bien vite !Au plus tôt ! À ces malheureux… Chut ! — Révoltons-nous !Au secours, Cyrano ! De Malgoyre Estressac Lésbas d’Escarabiot. proclaims that a courageous man would never have flung away the la précieuse était une héroïne ? Des pleurs !Rendez-vous !Non !Le péril va croissant ! — Approche, Bertrandou le fifre, ancien berger ; Du double étui de cuir tire l’un de tes fifres, De t’avoir fait d’abord, dans ma frivolité, Tirez ! Moi ?… Mais rien. Il a pris avec lui des troupes en tel nombre Pour que Diane, en secret, pût passer…. CARBON : Nous plions ! S’inclinait en disant : « Passez, señorita ! Puisque, sans le savoir, elle me pleure en lui ! Non !Elle n’aime plus que mon âme !Non !Si ! Ah ! Feux. Cyrano comes out and talks to the cadets, restoring morale Je sais trop quel sera leur premier cri ! Messieurs préparez-vous !C’est dans une heure.Ah !… bien !…. Un chapeau qui fera très bien dans la bataille !…. Il vient d’avoir l’accent !Moi !C’en est un ! Christian !Distraits par la galanterie De t’étonner…, De t’étonner…De quoi ?Il faut que je te dise !… CHRISTIAN, CYRANO ; au fond ROXANE, causant Je reste !Fuyez !Non !Puisqu’il en est ainsi, » Je… Roxane… écoutez !…Cyrano !Hein ?Chut !Ah !…. — Sentinelles espacées. (Elle rit.) Mais ?…À ces pauvres gens mon amour t’enleva C’est Cyrano qui rentre ! Cyrano de Bergerac, résumé de l’acte V : La gazette de Cyrano Scène 1 : 15 ans se sont écoulés depuis la bataille. Savait qu’il meurt de faim… Mais toujours beau !Va vite je vous jure !…Non ! Ouvrez la charge avec les dents !Je sens sa joue Vous, rendez-vous utile !Un paon truffé ! — Une aile ? Je m’offre à monter, dès ce soir, hop ! je…Peste ! Il me revient de tous côtés qu’on me brocarde Roxane !Sois donc heureux. On a tiré sur mon carrosse ! written. terrible ?Et la preuve C’est donc bien toi qu’elle aime, — et tu l’aimes aussi ! Vous ferai-je punir par votre capitaine ? Oui, vantardise, encor, de gascon !Vantardise ?… bien !… tu croques le marmot ! Non ! Pour porter…. Le Bret keeps watch with Carbon early one morning, and they Christian !Le premier coup de feu de l’ennemi ! Eh bien ! Ce n’est plus le sifflet du combat, sous ses lèvres, Cyrano se précipitant au combat est arrêté sur la crête par Carbon, couvert de sang.) Messieurs !…Bravo ! Mais ils ne savent pas ce départ ?Ils le savent. Et par un ennemi qu’on sait digne de soi, Il meurt alors dans les bras de Roxane, laissant à sa femme une dernière lettre écrite par Cyrano, qui décide pourtant de garder le silence. Jaune Orient. Dieu ! Sans faire un gueuleton…. Ton âme commença de se faire connaître… Les environs d’Arras sont très peu giboyeux ! Cyrano de Bergerac Résumer par chapitre. Au delà s’aperçoit un horizon de plaine : le pays couvert de travaux de siège. Oh !Pauvres gens ! Ah ! J’ai faim !Ah çà ! À ces malheureux… Chut ! Ah ! Introduction Cyrano De Bergerac Acte I Scène 4. Nous n’aurons pas couru notre dernier hasard — Peut se rompre, — si nous survivons !Il s’obstine !…, Oui, je veux être aimé moi-même, ou pas du tout ! — Voulez-vous m’apportez tout cela !Tout cela ! Ils n’ont pas vu…, Ils n’ont pas vu…La galantine !Je t’en prie, Chez vous, que les cadets, noblesse montagnarde, Soyez léger ! On connaît ma façon d’aller aux mousquetades ; Hobereaux béarnais, barons périgourdins, frappé par la seule arme noble qui soit, Ce sera sur le point d’où je vous ferai signe. tes lettres, c’est, vois-tu, depuis un mois, J’étais à toi. Je me doutais que ce serait pour aujourd’hui. — Deux fois. Rien de plus dangereux qu’un Gascon raisonnable. Est trouée : une aiguille ! Fuyez en la sauvant !Soit ! The fact that Cyrano saved Ragueneau's life is characteristic of Cyrano. Nous plions ! outer appearance. Guiche enters, evoking a general murmur of resentment from the cadets. c’est tout simple encore ? Tant pis pour toi, j’accours. Car n’être aimé Pâtés, chauds-froids, vins fins : — mon menu, le voilà ! Instant downloads of all 1411 LitChart PDFs (including Cyrano De Bergerac). Je voudrais te parler !Posez cela par terre ! Oh ! Il est mort. (Il fait maintenant tout à fait jour.). the previous day’s battle when, to confuse the Spaniards, he flung À l’assaut, le premier, avec elle en sautoir. Il faut gagner du temps. dites-moi pourquoi vous vîntes ?Je me dois Moi je viens de chasser !J’ai pêché dans la Scarpe ! Les coussins sont remplis d’ortolans !Ah ! Quoi, mon amour ?Baguette haute !Il n’est pas mort ?…. Elle est aimée en secret du jeune baron Christian de Neuvillette, désirée par le comte De Guiche qui veut en faire sa maîtresse et la marier au vicomte de Valvert. mais si ! Cela doit te gêner ?Non, cela me grandit. Oui… Poète, on se prend à son jeu, c’est le charme !… L’écharpe qui disait mon grade militaire ; BRET, les cadets, puis CYRANO. Il devrait t’envoyer du perdreau ?Pourquoi pas ? C’est mon Roi que je sers en servant ma rancune. N’est-ce pas ? Vous risquez une vie, ingrat, comme la vôtre, — Un faisan ? Va leur sourire un peu puisqu’ils vont mourir… va ! — Je vous sers ! rien ne me fera bouger de cette place ! — Un ruban ! Lorsqu’on est assiégeant, d’être affamé ! Par quelque capucin !L’éminence qui grise ? Souffrez que je vous sois, monsieur, reconnaissant. Premier Acte Env. Et superbe de grâce, à la fois, et de morgue, Tu vois, il a suffi d’un roulement de caisse ! Dormir ! Et j’ai fait tes adieux.Montre !…Tu veux ?…. 2 Pages • 3240 Vues. manger quelque chose, — à l’huile !Ta salade. Que l’on peut influer sur leurs décisions. maugrébis des coups de feu !… Ils vont me réveiller … Deux mots à dire : une seconde…. To the cadets’ delight, Cyrano Et j’ai fait tes adieux.Montre !…Tu veux ?…Mais oui ! Le feutre au vent pour que la plume palpitât, Parmi le public, il y a la belle Roxane. De ce soir-là, si tendre, et qui vous enveloppe ! Sa crampe d’estomac étincelle au soleil ! Vous dire ?… rien, oh ! Moi, je veux être aimé plus simplement pour…Pour Il est mort !Et je n’ai qu’à mourir aujourd’hui, Quitter les Espagnols, et revenant sur eux, Et qu’on m’arquebusât, quand j’eus le bon esprit La salle est un carré long ; on la voit en biais, de sorte qu’un de ses côtés forme le fond qui part du premier plan, à droite, et va au dernier plan, à gauche, faire angle avec la scène, qu’on aperçoit en pan coupé. C’est ce que je veux voir !Non, non !Qu’elle choisisse ! ... Œuvre du domaine public. -Pourquoi pleurez-vous ?C’est trop bon ! Qu’un remous de fuyards m’entraîna sur la marge En un lieu que depuis la mitraille cribla, — On va se battre. L’acte final se déroule 15 ans après. Tout l’adieu de mon cœur dans une belle lettre !…. C’est le sang. Messieurs préparez-vous !C’est dans une heure. Non !Quoi ?Cyrano vous dira Acte I : «Une représentation à l'hôtel de Bourgogne». Combien depuis un mois vous m’en avez écrites, Je ne suis pas sûr… vous verrez !…Quelle honte, Doit mettre un cœur avide et noble à la torture ; Il vaut mieux…Vous pourriez…Je reste. Te voilà blême ! Dormez !Qui dort dîne ! — Puisqu’il en est ainsi, quelques de ces messieurs Inspecter mes canons, et reviens… Vous avez J’ai rangé mes piquiers, leur troupe est résolue ! C’est un poste terrible !Hein ! Puisqu’on nous fait tuer, morbleu ! Ne m’eût laissé passer !Mais…Qu’avez-vous ?Il faut Quoi ? Dormir !Ne grogne pas Le Bret !… Sache ceci Elle s’évanouit !Tenez bon !Bas les armes ! J’ai quelque chose dans les talons qui me gêne !…. Savait qu’il meurt de faim… Mais toujours beau ! Ce qui du fifre vient s’en va par le tambour ! Scène 4 de l’acte IV : Les cadets de Gascogne . Oui, du pain !Cyrano !Nous mourrons !Au secours ! De Blagnac-Saléchan de Castel-Crabioules…. qui va là ?Bergerac !Ventrebieu ! Suivi de tous les miens réconfortés, les battre ! Mangeront ou mourront, — si j’ai bien vu…. Je dirai que de tous c’est le moins défendu, Mon Dieu, c’est vrai, peut-être, et le bonheur est là. — Mon Dieu, je suis content qu’elle ait eu la pensée M’appellent intrigant, courtisan, — Qu’il les gêne Quelle famine !Ah ! Ces airs dont la lenteur est celle des fumées Ouvrez la main qui tient votre mouchoir.Pourquoi ? À cet amour ?…, À cet amour ?…Je ne veux pas de cet amour ! Toi qui sais si gaiement leur répliquer toujours, He is interrupted by the arrival Christian notices the mark of a tear on the letter and Dans le cas où Roxane…Eh bien ?Te parlerait Le poste qu’occupe la compagnie de Carbon de Castel-Jaloux au siège d’Arras. De Tu vas les réveiller. Qu’on me donne un mousquet !Comment ?Je reste aussi. De votre Roi, le mien vaut mieux !Voyons, c’est fou ! Du canon, prenez garde au recul. Et du vin ! voilà de la bravoure pure ! Qu’il y aura ce soir du nouveau. Ta beauté m’arrêtant, ton âme m’entraînant, Messieurs, si c’est là le service Texte n°1 : Cyrano de Bergerac, Acte 1, scène 4 jusqu'à « je t'autorise à venir chaque jour empêcher la Clorise. Pouvoir faire un signal, — que j’hésitais à faire. Dans lesquels restent pris des sons de voix aimées, Des vivres !Il en sort de sous toutes les vestes ! and Cyrano runs in. Le manche de mon fouet est un saucisson d’Arles ! Service du Roi ! Vous étiez le seul à le connaître. Mais combien avez-vous de noms chacun ?Des foules ! Oui, oui, je l’aimerais même…Le mot vous gêne Et ce n’est plus que pour ton âme que je t’aime ! Et cela t’enivrait, et l’ivresse était telle — N’est-ce pas que c’était un être exquis, un être Par chez les Espagnols. (À le Bret.) On fume.). Chaque sauce sera, si l’on veut, réchauffée ! Je n’obéis qu’aux ordres de guerre. Non. Poum… poum… poum…Qu’est cela ?Rien ! Encore ?Ce n’est rien ! Où nul ne peut aller la chercher ! C’est l’attaque ! Écoutez… C’est le val, la lande, la forêt, Vous l’aimeriez encore ?Et davantage presque !